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01/12/2015 13:27

Je pu alors réaliser l'ampleur des moyens dont disposait la banque C

Un soir alors que nous allions dormir je sentis dans mon corps des frémissements qui parcouraient l'intégralité des terminaisons nerveuses de mon corps.

Puis des décharges électriques traversèrent et secouérent chaque fibre de mon corps.

Je ne le savais pas encore mais je venais d'être empoisonné.

Une sorte de substance ayant des effets sur l'intégralité de mon système nerveux ainsi que de ma résistivité et conducivité  avait dû être introduite à mon insu dans ma bouteille d'eau.

En effet, quelque jours auparavant je percevais à ma place comme une odeur liée à un produit que l'on chauffe et qui dégage des émanations. Mais ne parvenant pas à en identifier la cause je n'y prêta pas plus attention que ca;

Puis une semaine à la suite de cet épîsode de décharges électriques, une réunion projet fut organisée.

Notre grand chef qui avait répété à l'identique les propos que que j'avais prononcé dans ma voiture y participa. Il s'agissai en 2 ans de sa deuxième participation. Autant la première intervention était justifiée en lançement de projet autant à ce stade du projet elle était totalement inutile. 

La raison de sa présence était autre comme je m'en aperçus plus tard.

Dès que la réunion débuta, je fut traversé par un courant électrique qui traversait tout mon corps en provoquant des douleurs cardiaques.

J'étais comme téténisé et collé à ma chaise par la douleur de sorte que je ne put quitter ma chaise.

En quittant la réunion je  ressentis alors les premiers effets de cette électrisation.

Je recevais des décharges électriques dans la poitrine qui étaient dans un premier temps dispersées.

Progressivement ils se focalisérent sur la région cardiaque provoquant des douleurs indicibles.

Il m'était impossible de conduire, de réfléchir, de dormir.

Mon medecin décida alors de m'arrêter afin de me préserver.

Face à ce phénomène, j'entrepris divers examens cliniques qui ne constataient aucun dysfonctionnement de mon coeur.

J'entrepris alors d'effectuer une anlyse sanguine afin d'identifier les éléments anormaux qui pouvaient être présents dans mon corps.

Mon medecin m'informa alors que ce type d'analyse ne pouvait être effectué que par le centre anti poison.

Je me rendis alors au centre anti poison où je fut reçu par un medecin qui m'informa que les analyses globales telles qu'on le voit dans les films ne sont réalisés que dans les cas d'autopsies.

Ils ne procédaient en fait qu'à des analyses sur des éléments sur lesquels on avait des suspiscions en fonction des symptomes que l'on ressentait.

Nous partimes sur une analyse sanguine et un prélèvement de cheveux afin d'identifier une dizaine de poissons connus.

Mais étant donné qu'il m'avait fallut plus de 2 mois pour obtenir cette analyse, il était fort probable que les éléments ne soient plus décelables.

Ce fut en effet le résultat auquel aboutirent les analyses.

Mais pourtant les décharges étaient toujours là et je ne parvenait pas à en identifier l'origine si ce n'était qu'ils étaient liés au champs magnétique terrestre et au champ électrique.

Je négocia avec ma société une rupture de contrat afin de ne plus avoir à me rendre à la banque C.

Je profita de cette période de repit pour effectuer des recherches sur les armes non conventionnelles basées sur l'électricité (conductivité, magnétisme...) ainsi que sur les sociétés ayant le même type d'agissement.

Je découvris alors que ce comportement n'était pas fréquent en France mais plus pratiqué dans les pays anglo saxons.

N'est ce pas plus lié à la honte que les gens ont à réveler ce genre de comportement ou le fait qu'il est difficile d'admettre que de tels agissements puissent être perpétrés par des hommes.

Mais si vous cotoyiez la population des cadres dirigeants de nos banques et compagnies d'asurance vous seriez à même de coprendre.

Sans vouloir sombrer dans la caricature des traits de personnalité sont communément partagés par cette population.

En ayant moi même été membre, j'ai bien conscience que jusqu'à une certaine mesure cette critique s'applique à moi également.

 

01/12/2015 12:16

Je commença alors à remarquer que l'on me suivait. Que ce soit en voiture, dans les transports en commun ou à pied dans la rue.

Il est difficile d'aboutir à cette conclusion, car elle reviendrait à accepter que quelque chose d'anormal se passait dans votre vie.

Mais le fait d'avoir une mémoire visuelle me permettait de constater qu'une même personne que je n'avais jamais croisé dans mon quartier, était désormais à nouveau derrière moi en voiture ainsi que dans les transports.

L'Intimidation fut maximum le jour ou voulant aller voir mon avocat pour entamer une procédure en justice je fus l'objet de menaces de la part de plusieurs passants tout le long de mon trajet.
On me criait "tu veux t'attaquer à la compagnie "A" tu n'as aucune chance"
ou encore "si tu n'arrêtes pas on va finir par te tuer" me dit une jeune fille devant le cabinet de l'avocat.
Je rentra alors chez moi et fut pris d'une peur irrépressible qui m’empêchât de sortir et même d'aller chercher mes enfants.
Mais les choses ne s'arrêterent pas là, je constata que lorsque je sortais eT revenais chez moi les objets avaient été volontairement déplacés en mon absence.
En mettant la télécommande dans la salle de bain alors que je l'avais laissé au salon ou en décrochant des tableaux de leurs supports.
Très clairement on rentrait chez moi et l'on me faisait savoir que l'on en était possible.
Qui d'autre que la compagnie " A "pouvait tout mettre en oeuvre afin de me détruire de la sorte?

Je n'était pas engagé politiquement, j'entretenais de bons rapports avec mes voisins, je n'appartenait pas à un mouvement sectaire. En bref j'étais monsieur tout le monde avant mon départ de la compagnie"A".
Car Il faut des moyens logistiques et financiers conséquents pour s'introduire sans laisser de trace chez un individu et pour le menacer de façon si directe.
Le résultat fût dévastateur sur mon morale.
Je n'oasais plus sortir de chez moi de crainte d'être agressé.
Ce cloitrement dura 14 jours avant que je ne décide de consulter afin de m'assurer que je ne perdais pas la tête.
Dans ces moments on pense même à l'irréparable et seul l'amour de vos proches vous empêche de passer à l'acte.
Une fois rassuré sur ma santé mentale il me fallut tout l'été 2011 afin de retrouver des forces et entamer ma recherche d'emploi.
Pour être honnête avec vous, ma reconstruction afin de retouver confiance en mopi s'est basé sur une colère et une envie de vengeance à l'encontre de la société A et des principaux responsables des manipulations dont je fut la victime.
Les pensées les plus viles de votre personne ressortent afin de se dire que l'on n'est pas un lâche de n'avoir pas pu accompagner ses enfants à l'école durant 2 semaines.
On souhaite récuperer la peine et la souffrance dont vos proches ont été victimes.
Mais votre nature non violente prend le pas et vous passez à autre chose.
Il n'en était pas de même pour la société "A" qui continuait ses filatures et instigations destinées à me nuire.
En octobre 2011 je débuta une nouvelle carrière au seine d'une SSII et intervint pour une grande banque française dont la première letre est C;
La mission se déroulait à St Quentin en Yvelines et par commodité j'empruntait la voiture afin de m'y rendre.
Certains jour la colère si longtemps réfreiné ressortait alors je me retrouvait à hurler et à déblaterer des paroles très violentes à l'encontre de l'assureur A.
Bon an mal quasimment deux ans s'écoulèrentponctués de francs contentement et de moments plus difficiles lorsque les souvenirs douloureux remontaient à la surface.
Puis en juille 2013 alors que j'étais de passage à la Défense pour travailler, un collêgue un certain C commença à faire des allusions avec un autre collêgue sur des discussions que j'avais eu avec eux.
Mais ils ne me nommaient pas ce n'étaient que des allusions.
Je continua mon travail comme si de rien n'était mais désormais j'étais sur mes gardes.
Lors d'un autre passage à la banque C à la Défense le collêgue C se montra plus explicite.
Il me dit sans crier garde, ni sans aucune raison particulière que bien que je sois grand et costaud, je n'étais rien de plus qu'une branche qu'il suffisait de scier afin qu'elle tombe.
Je ne voyais pas trop pourquoi il me tenait ses propos, ce qui me choqua énormément et me replongea dans les souvenirs douloureux.
Je quitta sans attendre la fin de la journée et consulta le docteur qui préfera m'arrêter pour 2 semaines.
Vinrent alors mes congés d'aout ou nous partimes dans le sud avec toute la famille.
Les propos du colçegue m'avaient choqués alors je dis à ma femme que si c'était la guerre qu'ils voulaient et bien qu'il y aurait des représailles sanglantes.
Il s'agissait d'une formule littérale qui ne témoignait rien d'autre que mon souhait de passer à autre chose.
Quinze jours plus tard de retour au bureau, j'entendis le reponsable du service répeter à haute voix au téléphone qu'ils les attendaients ces représailles sanglantes.
Je fut surpris par cette utilisation de mes exactes mots par une personne qui n'avait pas assisté à la conversation.
Ces mots n'étaient que le prémisse d'un changement radical.
Les choises ne furent plus jamais les mêmes après cet épisode.

01/12/2015 12:11

Tout a débuté en 2010 alors que j'étais chef de projet chez un grand assureur.

Il m'est interdit de vous donner le nom de la société, cependant je peux vous dire que son nom commence par la lettre A.

J'ai intégré en en juin 2010 un programme visant à assurer l'évolution du logiciel de gestion sur l'ensemble des filiales de cet assureur.

Ma contribution portait sur les adaptations du logiciel pour la filiale allemande de ce grand assureur.
Les relations ont dès le départ été tendues avec mes homologues allemands.

Elles ont rapidement dérivées en un bras de fer stérile et éprouvant.
Les déplacements mensuelles que je faisait en Allemagne afin de faciliter l'avancement du projet étaient improductifs. Malgré les trésors d'effort mis en oeuvre afin de cerner au mieux leurs attentes, initier une démarche de compréhension mutuelle, je ne parvenais à rien.

La vacuité du résultat, en regard de l'intensité de mon implication ne faisait plus de doute quant à l'issue de la contribution avec cette équipe.
Le sentiment d'echec lié à l'immobilisme dont faisaient preuves mes collègues allemands minait mon moral et commençait à affecter ma santé.
Bien que validé dans mon poste, au bout de 6 mois de cette expérience douloureuse je décida de démissionner. J'en fit alors part à la DRH ainsi qu'à mon responsable (dont les initiales sont (P.R).
Ces derniers firent part de leur étonnement et essayèrent même de savoir s'il était possible de me faire changer d'avis.Je maintint ma décision et me prépara à la séparation avec mon employeur.
Le préavis fut alors le début de l'enfer.
Face à la pression, je fut progressivement arrête par mon médecin et finit par effectuer la quasi totalité de mon préavis chez moi.

 
01/12/2015 12:06

L'histoire que je vais vous raconter constitue une révélation des comportements sans limite dont sont capables les grands groupes et dont je suis victime.

Je m'appelle Christian j'ai 40 ans, je suis marié et père de 2 garçons.

J'habite dans le 92 (hauts de seine), où j'occupais jusqu'à peu la fonction de consultant en système d'informations.

J'avais une vie des plus normales, en tant que jeune cadre évoluant dans le quartier de la Défense sur des projets informatiques des plus grands groupes d'assurances et bancaires.

Mon témoignage vise avant tout à laisser une trace pour mes enfants et ma famille.

Il vise également à porter au grand jour de la violence dont peuvent faire preuve les grands groupes. Le sentiment de toute puissance accordée par le gigantisme de leur surface financière, de leur relations, les conduisent à décider de qui doit vivre ou mourir. Elles sont mêmes prêtes à vous supprimer, sans raison apparente, en recourant à des armes dont la technologie est peu connue du grand public.

Ces déclarations susciteront peut être le souhait pour certain(e)s de faire part de leurs expériences.

Car pour ma part la plongée en enfer est digne du film de science fiction "Ennemi d"Etat".