Manipulations psychologiques

01/12/2015 12:16

Je commença alors à remarquer que l'on me suivait. Que ce soit en voiture, dans les transports en commun ou à pied dans la rue.

Il est difficile d'aboutir à cette conclusion, car elle reviendrait à accepter que quelque chose d'anormal se passait dans votre vie.

Mais le fait d'avoir une mémoire visuelle me permettait de constater qu'une même personne que je n'avais jamais croisé dans mon quartier, était désormais à nouveau derrière moi en voiture ainsi que dans les transports.

L'Intimidation fut maximum le jour ou voulant aller voir mon avocat pour entamer une procédure en justice je fus l'objet de menaces de la part de plusieurs passants tout le long de mon trajet.
On me criait "tu veux t'attaquer à la compagnie "A" tu n'as aucune chance"
ou encore "si tu n'arrêtes pas on va finir par te tuer" me dit une jeune fille devant le cabinet de l'avocat.
Je rentra alors chez moi et fut pris d'une peur irrépressible qui m’empêchât de sortir et même d'aller chercher mes enfants.
Mais les choses ne s'arrêterent pas là, je constata que lorsque je sortais eT revenais chez moi les objets avaient été volontairement déplacés en mon absence.
En mettant la télécommande dans la salle de bain alors que je l'avais laissé au salon ou en décrochant des tableaux de leurs supports.
Très clairement on rentrait chez moi et l'on me faisait savoir que l'on en était possible.
Qui d'autre que la compagnie " A "pouvait tout mettre en oeuvre afin de me détruire de la sorte?

Je n'était pas engagé politiquement, j'entretenais de bons rapports avec mes voisins, je n'appartenait pas à un mouvement sectaire. En bref j'étais monsieur tout le monde avant mon départ de la compagnie"A".
Car Il faut des moyens logistiques et financiers conséquents pour s'introduire sans laisser de trace chez un individu et pour le menacer de façon si directe.
Le résultat fût dévastateur sur mon morale.
Je n'oasais plus sortir de chez moi de crainte d'être agressé.
Ce cloitrement dura 14 jours avant que je ne décide de consulter afin de m'assurer que je ne perdais pas la tête.
Dans ces moments on pense même à l'irréparable et seul l'amour de vos proches vous empêche de passer à l'acte.
Une fois rassuré sur ma santé mentale il me fallut tout l'été 2011 afin de retrouver des forces et entamer ma recherche d'emploi.
Pour être honnête avec vous, ma reconstruction afin de retouver confiance en mopi s'est basé sur une colère et une envie de vengeance à l'encontre de la société A et des principaux responsables des manipulations dont je fut la victime.
Les pensées les plus viles de votre personne ressortent afin de se dire que l'on n'est pas un lâche de n'avoir pas pu accompagner ses enfants à l'école durant 2 semaines.
On souhaite récuperer la peine et la souffrance dont vos proches ont été victimes.
Mais votre nature non violente prend le pas et vous passez à autre chose.
Il n'en était pas de même pour la société "A" qui continuait ses filatures et instigations destinées à me nuire.
En octobre 2011 je débuta une nouvelle carrière au seine d'une SSII et intervint pour une grande banque française dont la première letre est C;
La mission se déroulait à St Quentin en Yvelines et par commodité j'empruntait la voiture afin de m'y rendre.
Certains jour la colère si longtemps réfreiné ressortait alors je me retrouvait à hurler et à déblaterer des paroles très violentes à l'encontre de l'assureur A.
Bon an mal quasimment deux ans s'écoulèrentponctués de francs contentement et de moments plus difficiles lorsque les souvenirs douloureux remontaient à la surface.
Puis en juille 2013 alors que j'étais de passage à la Défense pour travailler, un collêgue un certain C commença à faire des allusions avec un autre collêgue sur des discussions que j'avais eu avec eux.
Mais ils ne me nommaient pas ce n'étaient que des allusions.
Je continua mon travail comme si de rien n'était mais désormais j'étais sur mes gardes.
Lors d'un autre passage à la banque C à la Défense le collêgue C se montra plus explicite.
Il me dit sans crier garde, ni sans aucune raison particulière que bien que je sois grand et costaud, je n'étais rien de plus qu'une branche qu'il suffisait de scier afin qu'elle tombe.
Je ne voyais pas trop pourquoi il me tenait ses propos, ce qui me choqua énormément et me replongea dans les souvenirs douloureux.
Je quitta sans attendre la fin de la journée et consulta le docteur qui préfera m'arrêter pour 2 semaines.
Vinrent alors mes congés d'aout ou nous partimes dans le sud avec toute la famille.
Les propos du colçegue m'avaient choqués alors je dis à ma femme que si c'était la guerre qu'ils voulaient et bien qu'il y aurait des représailles sanglantes.
Il s'agissait d'une formule littérale qui ne témoignait rien d'autre que mon souhait de passer à autre chose.
Quinze jours plus tard de retour au bureau, j'entendis le reponsable du service répeter à haute voix au téléphone qu'ils les attendaients ces représailles sanglantes.
Je fut surpris par cette utilisation de mes exactes mots par une personne qui n'avait pas assisté à la conversation.
Ces mots n'étaient que le prémisse d'un changement radical.
Les choises ne furent plus jamais les mêmes après cet épisode.