Premiers évenements

01/12/2015 12:11

Tout a débuté en 2010 alors que j'étais chef de projet chez un grand assureur.

Il m'est interdit de vous donner le nom de la société, cependant je peux vous dire que son nom commence par la lettre A.

J'ai intégré en en juin 2010 un programme visant à assurer l'évolution du logiciel de gestion sur l'ensemble des filiales de cet assureur.

Ma contribution portait sur les adaptations du logiciel pour la filiale allemande de ce grand assureur.
Les relations ont dès le départ été tendues avec mes homologues allemands.

Elles ont rapidement dérivées en un bras de fer stérile et éprouvant.
Les déplacements mensuelles que je faisait en Allemagne afin de faciliter l'avancement du projet étaient improductifs. Malgré les trésors d'effort mis en oeuvre afin de cerner au mieux leurs attentes, initier une démarche de compréhension mutuelle, je ne parvenais à rien.

La vacuité du résultat, en regard de l'intensité de mon implication ne faisait plus de doute quant à l'issue de la contribution avec cette équipe.
Le sentiment d'echec lié à l'immobilisme dont faisaient preuves mes collègues allemands minait mon moral et commençait à affecter ma santé.
Bien que validé dans mon poste, au bout de 6 mois de cette expérience douloureuse je décida de démissionner. J'en fit alors part à la DRH ainsi qu'à mon responsable (dont les initiales sont (P.R).
Ces derniers firent part de leur étonnement et essayèrent même de savoir s'il était possible de me faire changer d'avis.Je maintint ma décision et me prépara à la séparation avec mon employeur.
Le préavis fut alors le début de l'enfer.
Face à la pression, je fut progressivement arrête par mon médecin et finit par effectuer la quasi totalité de mon préavis chez moi.